Lokko prend la pose avec son masque personnalisé à ses couleurs afin de représenter son caractère de puppy.

Les marques d’affection sont nombreuses entre les puppies.

Dan et Lapsus se retrouvent régulièrement pour partager leur passion lors d’évènements publics ou de soirées privées.

Les puppies apprécient de reproduire les gestes du chiot.

Dan prend la pose du chiot dans ses habits de puppy.

Lokko, Dan et Lapsus sont 3 jeunes puppies (entre 22 et 24 ans) qui pratiquent le Puppy Play depuis leur majorité.

Un puppy et son maitre s’enlace dans un panier posé sur le sol.

Le collier ainsi que la médaille permettent d'identifier le nom du puppy et de son maitre.

Nifnaf, un verre à la main, durant la soirée K9.

La soirée K9 (abréviation de canine) est un lieu de rencontre pour les puppies et les maitres. Ces soirées se déroulent régulièrement dans des club parisiens.

Bailey, élu Mister Puppy France 2023, prend la pose dans la rue avec son masque et son harnais aux couleurs de la France.

Les opérations manuelles comme le perçage peuvent être complexes et physiques lorsqu’elles sont réalisées en suspension dans le baudrier au-dessus du vide.

Chaque chantier s’effectue en binôme. Vanessa et Johan installent leurs matériels sur le toit pour la réalisation des opérations prévues pour la journée.

Les cordistes, en milieu urbain, évoluent principalement sur les toitures et les façades des immeubles. L’accès aux toits de Paris ouvre de nouvelles perspectives sur la ville.

Pedro, chef de chantier, prépare les cordes de sécurité et le matériel pour l’évolution des cordistes JB et Guillaume sur la façade de la cour intérieure de l’immeuble.

Vanessa, cordiste intérimaire dans la région Bretagne depuis 3 ans. Environ 2% des cordistes sont des femmes soit environ 100 femmes pour 5 000 travailleurs réguliers.

Lors des chantiers en milieu naturel, il faut être prêt à travailler dans toutes les conditions météorologie. En mars, la température descend proche du zéro au petit matin. Cédric prépare le café pour ses collègues avant de démarrer leur journée.

Le chantier est une falaise d’une centaine de mètres surplombant la route qui longe le lac du Bourget. En dessous, la circulation est bloquée durant toute la durée d’intervention des cordistes. Les chutes de pierres sont fréquentes lors de leurs déplacements en haut de falaise.

La falaise en cours de sécurisation avec la mise en place de grillages en acier sur environ 1 km de route.

Après une longue journée, Cédric et Tim se retrouvent autour du camion aménagé de Tim pour boire un verre et discuter pendant plusieurs heures.

Nelle, diplômée CQP1 cordiste (Certificat de Qualification Professionnelle de niveau 1) depuis quelques mois, prépare les grillages en acier avant leur pose sur la falaise. Elle est la seule femme du chantier sur la vingtaine de cordiste.

Baptiste en intervention sur la pose du grillage. Il assemble les deux panneaux entre eux à l’aide d’une agrafeuse pneumatique.

Les journées sont longues sur le chantier et les pauses sont rares durant les 8 heures de travaux sur la falaise avant l’ouverture de la portion de route.

Grégory, cordiste de profession et membre actif de l’association lors de la manifestation pour la journée de la santé devant le ministère du Travail.

À la tombée de la nuit, le parking du stade communal est utilisé comme aire de camping pour une dizaine de cordistes qui vivent en communauté pendant la durée du chantier.

Dominique et Maryse ont perdu leur fils Sébastien le 3 janvier 2023 dans un accident de travail sur corde. La douleur est encore vive lorsqu’ils retrouvent les membres de l’association pour un rassemblement devant le ministère du Travail.

Les membres de l’association « Cordistes en colère, cordistes solidaires » (Eric, Grégory, Julien, Pierre et Stéphane) préparent la réunion du lendemain avec des responsables de la Direction Générale du Travail pour parler de la reconnaissance du métier et les conditions de sécurité. En 2023, il n’y a pas de code APE (Activité Principale Exercée) qui encadre et structure le métier.

Une plaque commémorative à la mémoire des collègues morts au travail a été installée par les membres de l’association dans les catacombes de Paris, normalement interdites d’accès. Depuis 2006, 33 cordistes ont trouvé la mort dans le cadre de leurs activités.

En suspension au bout du fil, la cordiste prend des allures d’équilibriste.

Le « Puppy Play » : la vie en mode BDSM Médialibre +

Au Pré-Saint-Gervais, des ateliers de cirque en famille à la cité Rabelais Médialibre +

Plan grand froid : un gymnase de Montreuil accueille 40 sans-abris jusqu’au 2 janvier 2023 Médialibre +

Collecte de dons aux Lilas pour étudiants en difficulté Médialibre +

À Pantin, la création s’invite sous toutes ses formes Médialibre +

Meurtres de petites filles en 1987 : le pôle « cold cases » cherche la lumière Les Jours +

Flics têtus pour causes perdues Les Jours +

Un Conseil qui se tient sage Les Jours +

En compagnie des hommes violents Les Jours +

La faculté est débloquée, mais la mobilisation des personnes présentes durant ces 3 jours est plus forte que jamais.

Les étudiants présents sont évacués dans le calme avec leurs affaires pour la nuit.

Au matin du 3e jour de blocage, les forces de l’ordre coordonnées par le commissaire de Brest entrent dans la faculté.

Les fenêtres visibles de l’extérieur sont utilisées pour afficher les revendications des étudiants.

En début de nuit, Alix et son ami écoutent une sonate de Schumann sur son téléphone alors qu’à côté d’eux s’organise une fête techno dans la cour intérieure de la faculté.

Toutes les entrées/sorties de la faculté sont bloquées par des tables et des chaises.

Un jongleur au milieu de la nuit.

La vie s’installe au sein de la faculté. Les salles de cours sont transformées en dortoirs. Les halls sont des lieux de discussion et de rencontre. Les murs deviennent des espaces d’expression et d’organisation du blocage.

Le blocage est aussi une manière pour des groupes d’amis et de militants de passer des bons moments ensembles comme Loane et Lou.

Dans l’amphithéâtre principal de la faculté, à tour de rôle les différents initiateurs du mouvement prennent la parole afin de voter les modalités du blocage. Des groupes de travail se constituent spontanément parmi les personnes présentes pour travailler sur les premières actions (logistique, communication, vivre ensemble…).

Début du blocage sur le parvis de la faculté Segalen (Lettres et Sciences humaines de Brest). De petits groupes commencent à se constituer et à déployer leurs banderoles.

« Acheter un disque crée une attente qui n’existe plus sur les plateformes » Les Jours +

Doux comme un algo Les Jours +

L’algorithme a besoin d’un coup d’humain Les Jours +

Les algorithmes éclatent les bulles de filtre Les Jours +